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6 février 2012 1 06 /02 /février /2012 20:34

http://www.africultures.com/revue_africultures/articles/images/24/24_10_03_08.JPG

 

 

 

La 1ère fois qu’on a écrit sur Akim, son agent nous avait rapidement contacté pour nous proposer de nous envoyer plus d’informations sur l’artiste ainsi que son 1er album, Atifa. Cela est, avouons-le, très gentil.


Pour autant, on a prévenu, nous ne serons pas plus indulgent.

 

En commençant le violon et le chant à 8 ans, Akim El-Sikameya pose les bases d’une impressionnante carrière, et qui, on l’espère, n’est pas prêt de toucher à sa fin.

 

Mais ce qui est le plus appréciable chez cet artiste, c’est qu’il a le véritable esprit et la volonté de métissage que beaucoup d’artistes revendiquent à tort et à travers (du genre Céline Dion pensant que la culture jamaïquaine se limite à Bob Marley). Akim El-Sikameya est souvent en tournée, et où que vous soyez sur le globe, ca ne lui fait pas peur de venir, et toujours avec le sourire.

 

Quant à la musique en elle-même, il a débuté par ce genre qu’il n’a jamais quitté, le modelant dans tous les sens possibles et imaginables: la musique arabo-andalouse. 

 

Tant par une rythmique de charmeur (« Allah Ya Allah »), une performance vocale étonnante (« Istikhbar Sahli »), ou ce chant entraînant probablement influencé par la musique juive (« Nouzha »), Atifa est un album qui sans être incontournable, vous enchantera.

 

 

 
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