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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 08:53

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Aaah les Ting Tings, ce groupe débordant d’énergie. Ce duo merveilleux qui a déchainé les foules du monde entier. Ces musiciens ultra performants dans tous les instruments pratiqués. Cette chanteuse rebelle et sexy avec ce gars cool et plutôt classique: on en viendrait même à vouloir qu’ils annoncent être en couple et s’embrassent sur scène. On en viendrait presque à vouloir qu’ils le fassent sur la place de l’hôtel de ville de Paris tellement leurs sur médiatisations nous a fait croire qu’ils étaient Français.

 

Commençons cette chronique en ayant l’honnêteté de dire que l’auteur les a vu en concert, et qu’il en n’a de souvenirs que la bière. Et encore, il a du bien réfléchir pour se rappeler si il les avait vu en concert. Pour vous dire l’impression que laisse ce groupe. Contrairement à la bière d’ailleurs, et les faits sont peut-être corrélés. 

 

http://graphikisland.com/wp-content/uploads/2012/03/The-Ting-Tings-graphikisland.jpg

 

Et en effet, il est dur de ne pas apprécier ce duo si talentueux. Capables de nous sortir des « hits planétaire », comme on dit, tout en travaillant de manière assez pointue leur musique. Tout ça est bien vrai, mais un minimum d’objectivité conduirait surement la plupart des auditeurs à trouver l’album dans son intégralité extrêmement gonflant. La chanteuse n’a pas une voix extraordinaire, et c’est surement consciente de cela qu’elle tente souvent d’axer son chant sur quelque chose de plus hip-hop. Mais faire ca au sein d’une pop-rock assez commerciale, peu de gens peuvent le faire. Et n’est pas Lilly Allen qui veut. 

 

On se retrouve donc avec un résultat assez mitigé. Le titre "We Started Nothing" est surement le plus abouti. Une pop moins prétentieuse. La répétitivité est assumée et perd du coup tout côté désagréable. La musique est entrainante, du genre qui vous trotte dans la tête. D’autres titres méritent le coup d’œil, on pense notamment au très connu « Shut Up and Let me Go ». Mais l’abus de l’emploi de ces fameux titres a malheureusement rendu ce groupe à la limite de l’inaudible. 

 


 
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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 17:15

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Incubus est toujours plus connut, et ses compositions toujours plus bâclées. Avec un certain sens du lamentable, le chanteur nous délecte d’un chant tirant tout le pathos existant sur une gamme de cordes vocales, à tel point que j’en viens à écrire des phrases insensés. Si la batterie et les interventions du Dj sont salvatrices, le niveau de l’ensemble reste somme toute médiocre.

 

http://userserve-ak.last.fm/serve/_/176114/Incubus.jpg

 

Tout mon respect à ceux qui parviendront au bout de l’album. Je l’ai fait une fois mais n’ait même pas le courage de réitérer l’expérience. La puissance négative de cette musique est sans limite. Ecouter cet album revient à écouter le précédent en pire. Je n’ai pas écouter les autres, mais je devine qu’on pourrait en dire la même chose.

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6 février 2013 3 06 /02 /février /2013 11:45

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Ah Incubus, le groupe pour collégiennes un peu curieuses et qui aimaient bien se démarquer. Dans l’espoir d’être la fille timide et qui a l’air moche mais en fait ne l’est pas qui se ferait séduire par un rebelle mystérieux capable de lire au plus profond de son âme. Bah non ma grosse, t’es moche à l’extérieur et tu présente rien de particulier à l’intérieur, alors le beau gosse il va plutôt essayer de se taper ta copine qui prend soin d’elle et lit autre chose que la presse people. Bref, Incubus est un groupe dont l’audimat de base fait qu’il part avec un sérieux handicap quand on veut l’écouter attentivement.

 

Aussi alternatif qu’il soit, le groupe fondé en 1990 ne met pas tant de temps à percer. Morning View, leur 4ème album, est probablement celui qui consacre le groupe pour de bon. Ca y’est, on ne se débarrassera plus d’eux.

 

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Un style tout ce qu'il y a de plus naturel

 

 

Le son oscille entre le métal et le rock semi-commercial. La présence d’un Dj aux platines est toujours aussi agréable, en témoigne par exemple ses quelques scratchs sur « Wish you were here » qui apportent une touche d’originalité nécessaire au groupe. Si l’album dans son ensemble est agréable, on a pas l’impression que le groupe se soit foulé plus que de nécessaire. Si ils se disent fans de Metallica, ils n’ont apparemment pas retenus le côté bourreau de travail. L’anecdote dit qu’ils n’ont retenus que 13 titres des 30 qu’ils avaient composés. Mais on se demande si composé est le mot juste pour certaines pistes, tant la banalité du titre est affligeant pour de tels musiciens. Finalement, on retiendra surtout le titre de clôture, « Aqueous Transmission », qui prouve que le groupe en a dans le ventre.

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9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 11:40

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Sum 41, ca fait partie de ces groupes dont nous avons honte, mais dont nous sommes bien obligé d’admirer le travail.

 

4ème album du groupe canadien fondé en 1996, on y retrouve une recette simple qu’est guitare, basse, batterie et chant. Selon les informations, le groupe est connut depuis l’album précédent Chuck, pour d’autres depuis Chuck, et pour d’autres encore l’album suivant. Bon, dans tous les cas ils étaient déjà relativement connus dans le courant punk/hard rock commercial (ces termes forment d’ailleurs de plus en plus une seule et même chose). 

 

C’est sur que l’instrumentation ne relève jamais du génie, et si quelques riffs peuvent vous faire bondir, c’est plus du coté de l’énergie du groupe que de sa qualité d’écriture qu’on en trouve la raison. Oui, Sum 41 Est-ce groupe pour adolescents que vous n’avez jamais vraiment aimé, mais que vous ne pourrez pas réellement détester non plus.

 

De plus, il faut noter que l'album est particulièrement agréable pour les fans car, non content d'avoir les paroles (quand j'ai acheté le Cd, y'avait pas internet chez moi, et oui ma petite dame c'était une autre époque où on pouvait avoir les paroles que si les artistes les mettaient dans le petit fascicule) données avec, chaque page du mini livret accompagnant le Cd avait un dessin aussi sympa que celui sur la pochette.

 

4/10


 
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7 septembre 2012 5 07 /09 /septembre /2012 10:05

http://audiosuede.com/wp/wp-content/uploads/2010/07/wolf-parade-expo-86.jpg

 

Dans la longue série des groupes connus sans trop de raisons, voilà Wolf Parade. A vrai dire, les seuls critiques que j’ai pu lire disant du bien de cet album sont des gens appréciant l’ambiance de Rock en Seine, pour vous dire les blaireaux…

 

Dès l’entrée en matière, on sent que l’album va pas nous enjouer plus que ca, encore qu’il laisse plutôt confiants quant à la capacité du groupe à assurer en live.

 

http://www.heavemedia.com/wp-content/uploads/2010/11/110408034015_wolf_parade.jpg

 

 

Pour ceux qui, comme moi découvrent véritablement le groupe avec cet album, son 3ème, vous n’éprouverez probablement aucune satisfaction du côté des sons typés « rock ». En revanche, les titres un peu plus abstraits, présentant un plus grand recul, peuvent s’avérer carrément jouissifs, à l’instar d’ « In the direction of the Moon ». Ces performances, on les attribuera tant à la guitare qu’au chant, très inspirés.

 

Un bon petit album à écouter en voiture, sans plus.

5/10

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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 23:24

http://4.bp.blogspot.com/_twNrgOrZnXQ/S-x3mMtVjyI/AAAAAAAAAZw/jBPB5YqfCHo/s1600/the_black_crowes_-_warpaint_-_2008-frontal.jpg

 

Un album pris totalement au hasard, la pochette étant assez esthétique.

Seulement, le destin ne m’avait pas placé devant ce disque par hasard. The Black Crowes s’avère être une légende du rock américain, ayant même fait 2 concerts avec Jimmy Page (Led Zeppelin). Ma méconnaissance est cependant excusable, ce groupe ne s’étant pas exporté outre mesure.

Pour vous la faire courte: le groupe se forme en 84 et se fait un petit nom avec son 1er album ainsi qu’en assurant la 1ère partie de ZZ Top. Les gars font donc du rock sur un fond de blues, du vieux rock, du bon rock. Alcool, femmes, drogues et quelques bagarres plus tard, les membres se séparent pour mieux se reformer en 2006, et nous pondre cet album.

Le groupe est composé des deux frères Robinson à la guitare et au chant, ainsi que de Steve Gorman, le batteur. Clavier, basse et seconde guitare ne cessant de changer de propriétaire, on se passera de leurs matricules.

 

D’après une interview lue sur www.esquire.com, l’un des 2 frères, Chris Robinson, est vraiment un psychopathes en puissance. Si, il porte la barbe depuis 15 ans, c’est par flemme de se raser. Si il a un look totalement négligé, qu’il, paradoxalement, semble travailler, c’est par ce qu’il n’aime pas être jugé sur son apparence. Et surtout que « c’est toujours super de frapper dans la gueule d’un mec qui s’y attend pas à cause de mon look ».

Et quand on lui demande pourquoi il veut garder son look des sixties, il explique simplement que lorsqu’arrivera Armageddon, on rangera son cadavre dans « la pile des sixties, la pile cool » .

 

http://cdn1.ticketsinventory.com/images/last_photos/concert/B/black-crowes/black-crowes_2011_dates_1203.png

 

Le problème des vieux véritables rock’n’roll qui ont connu le succès et l’argent, c’est qu’ils s’y attachent et y perdent une partie de leur âme. Ne connaissant pas leurs autres albums, il m’est bien sur impossible de juger leur évolution, mais les critiques que j’ai pu lire présentent l’album comme un renouveau de la 1ère période d’apogée. Autant dire que, à l’instar de groupes aussi géniaux que les Rolling Stones, les futurs papys veulent s’assurer une belle maison de retraite. Du coup, ça sent le recyclage à plein nez. Du rock de la vielle école, comme il en a déjà été beaucoup fait, sans beaucoup d’inspiration.

 

Le tiers des titres valent la peine d’être écouté, mais ceux-là valent vraiment la peine d’être écoutés. Donc plutôt un CD à écouter sur internet qu’à acheter (et surtout pas à télécharger, saleté de terroristes informatiques!).

 

5/10

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8 mai 2012 2 08 /05 /mai /2012 11:07

http://images.uulyrics.com/cover/e/eels/album-electro-shock-blues.jpg

 

Paru en 1998, l’album fait suite au suicide de sa sœur et au décès de sa mère dû à un cancer des poumons. Autant dire que notre Everett, qui n’était déjà pas particulièrement un gai luron, nous embarque cette fois-ci  dans un monde carrément étrange, et appeler des morceaux « Going to your funeral », ça n’est jamais de très bon augure.

 

Il est intéressant de savoir que la pochette et le livret comportent poésies et dessins de lui-même et de membres disparus de sa famille. Mais excepté ce côté mélodramatique qui permet à tout le monde de faire une introduction sur cet album sans trop se casser la tête, que peut-on dire d’Electro-Shock Blues?

http://www.ungeekunefille.fr/wp-content/uploads/2010/08/0202_eels_a.jpg

 

Je suis supposé dire qu’Eels brave le tabou de la mort, sujet qui ne fait pas vendre beaucoup de chansons, exceptés lorsque des rappeurs s’inventent une vie tellement gangsta qu’on en viendrait à croire que la France est un pays plus dangereux que le Honduras. Je suis aussi supposé dire que c’est très émouvant, très bien écrit, et que la musique est exceptionnelle. 

 

Certes, on ne peut retirer à l’auteur tout cela à l’artiste, car force est de constater que l’album est bon. Pour autant, je ne me suis pris que partiellement au jeu, et, à mon sens, la musique ne nous fait pas partager plus que ça les sentiments voulus. Ce sont finalement les chansons les plus dynamiques qui me semblent les plus valorisantes pour Eels, le reste pouvant servir comme bruit de fond, mais rien de plus.

Toutefois, relativisons cet écrit, ca reste du Eels, donc ça n’est jamais très mauvais non plus, mais cet artiste est justement trop bon pour se contenter de ça!

 

4/10

 


 
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3 mai 2012 4 03 /05 /mai /2012 18:39

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Quand on nous dit Eagles of Death Metal (EODM), on pense d’abord à Josh Homme et Jesse Hughes. Mais bon, pour qu’un groupe à la composition basique se démarque du lot, il ne faut pas que des grands noms de la scène américaine. Tant mieux, car Josh Homme (qui, ici, officie à la batterie et ne compose que peu) n’est pas le genre de type à se contenter d’être bon, il préfère être le meilleur, et par conséquent, on le voit mal accepter d’être dans un groupe banal. C’est donc armé de batterie, basse, et guitares que les musiciens nous montrent qu’ils en ont dans le ventre. Et, si il s’agit là de leur premier album, on se doute dès la première chanson qu’ils ont vocation à en faire d’autres.

 

 

C’est donc un sacré groupe de rock (n’ayez pas peur, rien de métalleux chez ce groupe) qui nous tombe dessus avec des titres plus déjantés les uns que les autres. Le genre d’album que tout le monde saura apprécier. Les chansons sont courtes. Les paroles parfois amusantes quand on prend le temps de les écouter. Et, avant tout, les riffs lourds accompagnés d’une batterie cinglante et d’une rythmique de guitare des plus dynamiques, ça ne vous lasse pas si facilement, surtout quand c’est fait avec un tel brio.

 

http://www.100xr.com/100_XR/Artists/E/Eagles_Of_Death_Metal/Eagles.Of.Death.Metal-band-2006.jpg

 

 

Certains pourront reprocher la présence de chansons dites de remplissages. Si l’on veut, car, pour ma part, même si je concède que certains titres ne m’auraient pas fait vibrer plus que ca avec un autre groupe, l’album présente un tel entrain que les chansons les plus limitées restent agréables et sont vite compensés par le prochain titre qui vous semblera d’autant plus génial.

 

9/10

 
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17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 10:29

http://ecx.images-amazon.com/images/I/51TkHLetfDL._SS500_.jpg

 

Groupe crée en 2006, ils sortent un EP la même année, puis ce 1er album l’année suivante. Oui, ils veulent probablement faire du fric. A défaut d’avoir révolutionné ma vision de la musique, Hymns For a Dark Horse m’a fait me demander si je n’étais pas un méchant homme. En effet, les sites français comme anglais applaudissent des 2 mains l’album, lui octroyant des notes exceptionnelles. Alors que faire? Dois-je réviser mon avis, faire des compromis, me ranger dans le mainstream? Peut-être…


Non je plaisante, j’essayais de me mettre dans la peau d’un gars qui se résout à travailler pour les Inrocks.

 

Je n’aime pas cet album, et je le clame haut et fort. Encore que ce n’est pas vraiment que je le trouve mauvais, c’est que je ne le trouve rien, et c’est bien le pire. Hymns For a Dark Horse n’est qu’un Cd de plus venant s’entasser dans la grande pile des banalités effarantes.

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Guitare, tambour, violon, mais que c’est bon enfant dites-moi! Quitte à pourrir les oreilles de quelqu’un, dirigez-vous vers les crèches et le monde vous appartiendra!

 

Bowerbirds est un Herman Düne-like (ou un Cocoon-like si vous préférez), un de plus. Pour être franc, j’écoute l’album pour la 4ème fois au moment où j’écris, et j’ai vraiment envie de pleurer… Mais comment est-ce possible de faire à ce point comme tout le monde, et que les critiques vous encensent de le faire mais avec une petite touche personnelle! Non, il n’y a rien de bon dans l’album de Bowerbirds, et on peut supposer que les concerts sont d’un ennui mortel.


Bien sur, ça fera toujours un cadeau correct à un gamin qui découvre tout juste la musique, car les musiciens sont loin d‘être mauvais. Mais pour quiconque a déjà écouté 2 ou 3 albums folk ou pop dans sa vie, il s’apercevra rapidement des limites de la chose.

 

4.5/10

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2 avril 2012 1 02 /04 /avril /2012 06:30

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Premier album et malheureusement pas le dernier d’un groupe canadien qui n’a que peu endommagé nos côtés normandes en faisant une entrée discrète chez les disquaires de l’hexagone. Notons une composition banale à 4 musiciens, dont 3 femmes.

 

La chanteuse a une voix très rock ‘n’roll, collant parfaitement à sa musique. Ce groupe symbolise exactement le groupe médiocre qui fait une reprise pas trop laide, pour enchainer sur ses propres compositions très vilaines, au bal de promo du lycée.

Tout ça avec les beaux basketteurs, dont 2 frères, appelons-les Scott, qui sont dans la foule sans danser pour pas passer pour des blaireaux. Pendant ce temps, une de leurs amies « fait n’importe quoi » en buvant un vodka jus d’orange et en se mettant directement après à poil sur scène. Car oui, l’alcool: c’est mal! Ca peut vous semblez exagérer, mais The Flairs est réellement l’archétype du teenage band qui passe en fond sonore dans les séries américaines bas de gamme.

 

 

On peut souhaiter à la chanteuse de changer de groupe en adoptant un autre registre afin de mieux exploiter son potentiel, ou alors tout simplement de faire écrire leurs morceaux par des gens qui s’y connaissent un minimum. « Shut Up and Drive », en plus de s’accumuler sur la longue lignée des groupes heavy-rock crée sur un coup de tête après avoir vu Avril Lavigne sur MTV, ne cherche pas du tout à se démarquer du reste. Oui, c’est pas par ce que les mecs se ramènent aux concerts voir vos 3 paires de seins que votre musique vaut quelque chose.

 

Cependant, on notera que les instruments jouent plutôt bien quand on parvient à les distinguer dans ce gros brouhaha qui nous est balancé. Un cadeau convenable pour un préado qui découvre la guitare électrique, un objet qui sera revendu le lendemain sur eBay pour n’importe qui d’autre.

 

3/10

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